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Le 14 décembre a été diffusé sur TF1 un Grand Reportage : la journaliste Marie-Alix Brucker a suivi Pierre Lebrun et...
Dans cet article nous vous parlerons d'Hiroki san et de nos thés fumés japanese lapsang
Une association entré thés et épices pour apprécier des matières brutes dans toute leur splendeur.
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Les thés bleus peuvent être oxydés entre 10% et 70% environ, voire être torréfiés. Ils sont le plus souvent peu théinés et principalement originaires de Chine et de Taïwan.
Tout d’abord, il est important de noter que la cueillette se concentre à un stade très précis de la maturation de la feuille, ce qui explique son faible taux en théine. On flétri les feuilles sur des nattes en bambou, en extérieur, puis on les entrepose au frais pour les attendrir.
Puis, l’étape de roulage / oxydation débute, étape la plus délicate. Il faut brasser les feuilles, délicatement, jusqu’à obtenir le taux d’oxydation désiré, qui donnera son caractère au thé.
C’est le taux d’oxydation qui déterminera si le thé sera plutôt sur des notes florales et végétales (faible oxydation) ou plutôt boisé, fruité (forte oxydation).
C’est également au cours de cette étape que les feuilles seront roulées, sculptées en perle, torsadées, …etc. Enfin, on sèche les feuilles pendant environ 20 minutes afin de fixer les feuilles.
Finalement, pour certains thés comme le Dan Cong par exemple, on les torréfie dans de grandes bassines à température très élevée qui rappellent les fameux « Wok » asiatiques. Voir tous nos thés bleus
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