Le 14 décembre a été diffusé sur TF1 un Grand Reportage : la journaliste Marie-Alix Brucker a suivi Pierre Lebrun et...
Catégories de blogs
Rechercher dans blog
Tags de blog
Pas d'images en vedette
Articles archivés
Catégories de blogs
Rechercher dans blog
Derniers articles
Le 14 décembre a été diffusé sur TF1 un Grand Reportage : la journaliste Marie-Alix Brucker a suivi Pierre Lebrun et...
Dans cet article nous vous parlerons d'Hiroki san et de nos thés fumés japanese lapsang
Une association entré thés et épices pour apprécier des matières brutes dans toute leur splendeur.
Articles populaires
Articles en vedette
Tags de blog
Pas d'images en vedette
Articles archivés
Les Camellias ayant une richesse aromatique justifiant un intérêt gustatif sont peu nombreux : le camellia sinensis et le camellia Assamica principalement, ainsi que le camellia cambodiensis dans une moindre mesure. Les autres sont cultivés à des fins ornementales.
L’espèce la plus cultivé est le Camellia Sinensis. Il est à l’origine de 70% de la production mondiale. Il est aussi le premier a avoir été domestiqué, des livres de compte chinois prouvent qu’il était cultivé 200 ans avant la naissance du Christ même si la légende veut qu’il ait été découvert en Chine deux millénaires avant cette date (en 2737 avant JC précisément).
Cette longue domestication a engendré de nombreuses sous-espèces développant des nuances et des intensités particulières, les sélections des agriculteurs ayant créé ces distinctions. Le Camellia Sinensis du Japon après 8 siècles de culture n’est plus exactement le même que l’étaient les plans d’origine provenant du Fujian.
Son cycle de vie est très long, il est possible de rencontrer des récoltes de grande qualité de thé provenant de théier centenaires. Cette espérance de vie exceptionnelle est souvent attribuée aux anti-oxydants qu’il produit naturellement.
Le Camellia Assamica, lui, est de culture plus récente. Il doit son nom à la découverte par des agronomes anglais de cette espèce sauvage de Camellia dans la région d’Assam en Inde. Le Camellia Assamica est plus productif que son homologue Sinensis et a une croissance plus importante ce qui le rend plus prisé par les productions industriels.
Il est par contre moins aromatique et plus homogène, la plupart des crus d’exceptions sont donc des Camellia Sinensis. Son espérance de vie est aussi beaucoup moins importante, autour de 50 ans. Les principaux lieux d’exploitation de ce thé sont le Kenya, la région d’Assam et celle du Yunnan en Chine.
Top auteurs